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L'utopie. Ouais, l'utopie de la vie.

L'utopie. Ouais, l'utopie de la vie.
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10 avril 2010

Encore toi, j'ai honte.

Je suis blasée. Blasée, parce que je t'aime, et que tu me manque. Que j'aimerai être près de toi, couvrir ta nuque de baisers, et m'enivrer de ton doux parfum.
Tu me manque, honey, vraiment. Mais le pire, c'est que quand je te reverrai, ce sera nul, de nouveau au lycée, les cours..
Tu crois que je devrais t'oublier ? Que ce serait peut-être mieux pour moi ? Ca serait dure , très dure..
J'ai pas envie d'avancer dans le temps, j'ai peur que tu t'éloignes que tu repartes, comme la première fois..
Tu ne devrais pas avoir le droit d'avoir une telle influence sur mon petit cœur, pas le droit..
Mais bon sang, quand est-ce que je t'oublie ?
Quand est-ce que ça ne me fera plus rien de regarder les vielles photos de nous ?
Quand est ce que l'amour s'éteint, s'envole, pour de bon ?
Je ne sais, je ne sais, ce n'est pas moi qui décide ça.
Laisse moi t'aimer,  laisse moi t'aimer juste une dernière fois.


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10 avril 2010

" - Bouches toi les oreilles très fort... Tu entends comme je t'aime ? "

Il y avait des visages.. Des regards, des sourires, mais pas les tiens..
C'est le tiens que je cherchais, ta douce voix que je voulais entendre, encore et encore.
" J'ai peur de l'avenir. "


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30 mars 2010

Je suis folle de vous.

Quand j'aperçois au loin votre démarche, mon coeur se met à battre.  Lorsque le moindre son s'échappant de votre bouche,  par m'égarde s'aventurais jusqu'à mes oreilles, ceci procure en moi une sensation que je n'ai jamais vraiment connue. Je me sens alors désoeuvrée,  désarmée. Si vous êtes devant moi, il m'arrive, de mirer, mirer, votre nuque. Je sais que ne devrais vous dire cela, mais elle me donne alors tellement envie de la couvrir de baisers, de m'enivrer de son doux  parfum. De vous serrez si fort contre moi, que je pourrais alors sentir les battements de votre coeur, contre ma poitrine. Je vous aime, oui, je crois que je suis folle de vous. M'en voudriez vous ?

ps : je ne parle pas d'une personne précise.

30 mars 2010

" On peut aussi être à New York. "

C'est dans le mutisme de la nuit, que je me retrouve seule,  obligée de songer. Avec pour seule compagnie l'obscurité. Obligée de songer, oui. En attendant que le sommeil s'empare de ma conscience, je pense , oui. Telle est mon occupation préférée. C'est vrai quoi, en pensant, on fait ce que l'on veut. On est ou l'on veut, quand on veut, avec qui l'on veut. Quand je pense, je peux être à côté de toi, tu peux me prendre ma main dans la tienne. On peut aussi être à New York, rien que tous les deux.

13 mars 2010

Le déclin de la vie, Le dégout de l'amour.Voilà

Le déclin de la vie,
Le dégout de l'amour.
Voilà deux phrases, qui résume mes quatre derniers mois.
Quatre mois à broyer du noir.. Oui,  quatre.
Quatre mois ou je n'ai plus envie. Non, plus envie de rien.
Quatre mois, ou l'intérêt de ma vie m'était tellement flou, que même avec des lunettes ray-ban wayfarer ( puisque ça redevient à la mode ), je ne l'aurais pas même aperçut.

Quatre mois, ou la nuit est le seul, refuge, le seul soulagement que je trouvais. ( Bon d'accord, en plus de la cigarette. ) La nuit noire, le silence, la solitude. C'est tellement agréable, je vous jure.
Quatre mois, que je ne t'oublis en rien, quatre mois, qu'on ne se parle plus, et si par mégarde, nos regards venaient à se croiser, nous faisons comme si de rien n'était.
Quatre moi qu'il n'y à personne, personne qui ne pense comme moi, qui ne me comprends.
Quatre mois, que Paris devient pour moi, un véritable paradis. Quatre moi ou je déambule dans ses rues, sans vraiment de but. Je vais, je viens, respire l'air Parisiens. Rue des Francs-Bourgeois, Boulevard Haussmann, Place des Vosges, Beaubourgs, St Germains des Près, telles sont mes escapades. Le seul, que j'ai bien voulu encore aimé, durant ces quatre moi, c'est bien toi, Paris.

Quatre mois que c'est la décadence, voilà tout. La décadence de la vie, la décadence de l'amour. Ma
décadence de Toi.

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13 mars 2010

" L'envie de suicide a de l'avenir " By Julien.H

Penses tu que je suis quelqu'un de fréquentable ? Quelqu'un que l'on puisse aimer ?
J'aime regarder. Regarder noir. Pour faire peur aux gens.
Je t'attire ? Je t'effraie ?
Tu jalouse ma démarche ?
Ta voix, non-attrayante m'est familière. Je redeviens comme petite fille, l'entendant.
Douce mélodie, berceuse de mon enfance, vagabondant dans la fumée qui s'élève du mégot, gisant sur le sol pavé, dans un froid, non aimable, et matinal.





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22 janvier 2010

Vide.

C'est un vide évident.
Des pensées persistantes, des questions qui ne me lâchent pas, nuits et jours.
Ces jours inutiles, auxquels je ne trouve aucun intérêt.

Cette période noire,  ou le ciel est bas,  rien ne va,  je fume, je me dit que tout ira mieux demain,  je nie mon chagrin.  Mais personne n'est là. Je n'ai nul part ou aller, plus rien à penser,  juste des choses à oublier.

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3 novembre 2009

LB & LB

L.B



Je suis amoureuse.


C'est ses mots, ses gestes, ses " je t'aime " , sa voix ( heu ... de fille ? ) , son rire, sa démarche effeminée, la façon qu'il a de me prendre dans ses bras, ses jambes d'anorexique, son nez rouge quand il a froid, son odeur, son cul , tellement petit,  son écriture en italique, la façon qu'il a de me dire " j'ai envie de toi " , sa façon d'être aussi maladroit, que je le suis, et que nous deux dans un espace relativement petit, on se cogne partout, ses mains qui font deux fois les miennes, sa façon de dire " allo
" , sa façon d'allumer ses clopes, c'est .. lui..

LB___LB_

27 octobre 2009

Autonme monotone

Je ne sais pas vraiment ou je vais. Perdue, je vais à la dérive, je ne fais pas grand chose d'utile, sans vraiment de but précis, envahie de quelques soucis. Les feuilles tombent, trop vite, oui. Les larmes coulent. L'automne est quelque peu monotone. Les jours sont les mêmes, banales et inutiles. Les nuits courtes, pleines de rêves, et même dangereuses. L'avenir est trop incertain, pour que l'on en parle ici.

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28 septembre 2009

Aujourd'hui.

Aujourd'hui, dans mon lit, lorsque là douce lumière commence à pénetrer à peine par la fenêtre, que j'ouvre très lentement, mes yeux, que je m'assoies, dans mon lit, l'esprit encore endormi , je me rends compte, que je ne te reverrais certainement jamais.
Aujourd'hui, je m'aperçois, que les seules choses qu'il me restent de toi, sont ses deux bouts de métaux, cette petite rose sèchée, qui a perdu beaucoup de ses pétales, ainsi que cette chose rouge, autour de mon cou, qui git sur ma poitrine.Aujourd'hui,  je me rends compte, que j'ai une fois de plus rêvé de toi. Je me rends compte que je ne te reverrai certainement jamais. Je me rends compte qu'une larme coule sur ma joue. Aujourd'hui, je ne veux plus que les jours passent, je veux au contraire, retourner dans le passé, te voire, juste entendre ton ténor grave, t'embrasser. Je me rends compte que ma vie n'a plus d'interret sans ta présence. Je me rends compte, que je t'aime beaucoup trop, d'une façon qui ne devrait pas exister, d'une façon dangereuse. Je me rends compte que je t'aime, je t'aime, mais que je  ne peux rien faire, que la vie en a décidé autrement, que nos chemins doivent se séparer, que je ne croiserai plus jamais ton regard, que plus jamais je n'entendrais ton doux ténor, que c'est ainsi, que je ne peux rien faire, que c'est la vie. Je me rends compte que e collier devra me suffire en guise de " toi ".
Aujourd'hui, je me rends compte, que je ne t'oublierai jamais, je te le promets.

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Cet objet, c'était  toi, puis ce fut moi, aujourd'hui je me rends compte que tout est fini.


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