22 janvier 2010
Vide.
C'est un vide évident.
Des pensées persistantes, des questions qui ne me lâchent pas, nuits et jours.
Ces jours inutiles, auxquels je ne trouve aucun intérêt.
Cette période noire, ou le ciel est bas, rien ne va, je fume, je me dit que tout ira mieux demain, je nie mon chagrin. Mais personne n'est là. Je n'ai nul part ou aller, plus rien à penser, juste des choses à oublier.
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